Arrivée à Tontouta, quelle heure est-il ? quel jour sommes-nous ? Après Francfort, Londres, Dubaï, on s'y perd un peu. Ah si, on est dimanche ! Sans les valises donc mais Yann et Lise pour nous sauver ! Une belle auto, remplie de trésors pour aller se perdre dans le nord de la Grande Terre.
Pour bien démarrer, un pique-nique sur la plage à deux pas de La Foa. Premières découvertes, premières sensations... La première surprise, l'espace, un espace préservé, vierge... Premier contact avec ce lagon, classé au patrimoine mondial...
Après une nuit passée à La Foa, direction la côte est (voir Hienghène). 3 jours plus tard, retour ici même. Dans le texas...
Le paradis des cavaliers et cavalières... mais aussi le royaume des 4x4 et des picks up
C'est bien l'hiver, absence totale de vacanciers
Qui a une petite envie de venir fêter son anniversaire par ici ? sur une plage déserte, une piscine personnelle ?
Arrêt à l'hôtel de Poé
Sans Photoshop, un point de vue incroyable !
Suite à l’attaque de Pearl Harbor du 7 décembre 1941 par les Japonais, une importante flotte de navires de guerre, avec 18 000 soldats américains, entre en rade de Nouméa le 12 mars 1942. La Nouvelle-Calédonie devient peu après le entre du commandement interallié dans le Pacifique et une de ses principales bases arrière. D’autres forces alliées australiennes et néo-zélandaises viennent en renfort. Les Japonais vivant en Nouvelle-Calédonie sont arrêtés et expulsés vers l’Australie. Rapidement, l’archipel se couvre de camps d’entraînement, d’aérodromes et d’hôpitaux. C’est à la fois un terrain d’exercices, une base médicale importante pour les blessés de Guadalcanal et un centre de repos. Entre 1942 et 1946, plus d’un million d’Américains séjournent dans la colonie.
Les néo-Zéolandais en Nouvelle-Calédonie durant la 2e Guerre mondiale
Route vers le sud, en direction de Nouméa
Nous avons un chouette bungalow dans l'hôtel.
Petit arrêt à la distillerie de niaouli.
Le bagne de Nouvelle-Calédonie est un établissement pénitentiaire, aujourd'hui disparu, en activité de 1864 à 1924. De nombreux prisonniers français de métropole (environ 21 000) y furent déportés. Répartis en quatre classes (selon leur condamnation), ces déportés pouvaient espérer être libérés sans pour autant obtenir de retour en métropole. La suite ici
je continue demain...