Sur l'autopista, la pompe à essence, bienvenue car très rare... aussi rare que les panneaux....
vue depuis le toit de l'hôtel...
Cette place aux proportions majestueuses est encadrée de nombreux édifices datant de la fin du 19e s. et du début du 20 e s. Au centre du square, quelques bancs invitent à une halte à l'ombre des arbres et la gloriette (kiosque à musique) accueille parfois la fanfare municipale. À l'entrée de la place, derrière deux lions de marbre, une rosace dessinée sur le sol marque les limites de Cienfuegos à l'époque de sa fondation en 1819 (le kilomètre zéro). Les allées du square convergent toutes vers le centre, où est érigée une statue de José Martí, héros national. Classée au patrimoine mondial.
le théâtre Tomás Terry (1889), baptisé du nom d'un magnat du sucre d'origine vénézuélienne. Sa façade néoclassique a été rénovée, mais la salle est restée intacte, avec ses rangées de sièges en bois pouvant accueillir 950 spectateurs. Les balcons sont d'une élégante sobriété et une très belle fresque orne le plafond. Les visiteurs peuvent arpenter la scène.
Les magasins ont quelque chose de soviétique...
Jadis quartier chic de Cienfuegos, Punta Gorda s'étire sur une péninsule de 3 km de long. Le Malecón, le bord de mer, est bordé de riches villas, vestiges de la présence américaine sous Batista. En arpentant la péninsule, on découvre l'hôtel Jagua, un ancien casino tout en béton (1950) qui voisine avec le Palacio de Valle, patchwork de styles où domine l'influence mauresque.
Le cimetière où reposent de nombreux européens...
Le jardin botanique...
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