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Pour les yeux d'une bohémienne
Ce voyage au mont Nemrut Dagi a été annulé en 2014. La belle bohémienne patientera également 3 années supplémentaires.
En cette fin 2017, les renseignements pris auprès de connaissances originaires de Gaziantep étaient rassurants sur la sécurité, les déplacements dans la région; alors en avant.La frontière syrienne n'est pas très éloignée, pourtant, en ce mois d'octobre, il n'y a aucun risque à parcourir la région frontalière. Nous n'avons croisé ni réfugiés ni hommes en arme ni blindés. Il y a moins de barbus qu'à Mulhouse, puisque nous n'en n'avons croisé aucun ici. De même les tenues intégrales "féminines" sont moins nombreuses à Gaziantep (2 millions d'habitants) et Mardin (65 000 hbts) que dans la cité alsacienne. La police a établi de simples checkspoint à la limite des régions. Nous n'avons jamais ressenti une insécurité quelconque au contraire les habitants sont particulièrement accueillants et heureux de voir quelques rares touristes. Ce circuit de 1500 km démarre à Gaziantep, gravit l'époustouflant Nemrut Dagi, rejoint Mardin "la chrétienne", effleure la belle Midyat découvre Hasankeyf la future engloutie, cherche les églises syriaques orthodoxes du Tur Abdin, file vers le sud à Harran, retrouve la "glorieuse" Sanliurfa avec ses beaux bassins avant de terminer la boucle par Antep comme on dit par ici. Un joli parcours sur la route du coton avec de belles scènes agricoles.
Tchai et fruits secs après un magnifique repas chez Bekir et Besire (traductrice, la sœur, au bout du fil en cas de besoin via WhatsApp).
Beau sourire au village d'Harran à 20 km de la frontière syrienne.
Gendarme en carton sur le bord des belles routes, souvent à 4 voies.
Arrêt à Sanliurfa où Abrham serait né.
« L'homme qui voulait voir la guerre de près mais qui n'aime que la paix et les pommiers en fleursLe programme sud / est »
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Commentaires
Ca donne envie d'y faire un tour (Nemrut!! je ne connaissais pas)